Les épargnants peuvent se frotter les mains. À la faveur de la baisse des taux d’intérêt impulsée par les banques centrales, ils retrouvent à nouveau des marges de manœuvre pour aller chercher des rendements appétissants. Les actions, l’immobilier, voire le bitcoin, qui prospèrent quand le loyer de l’argent est faible, reprennent déjà des couleurs. Ce n’est probablement qu’un début. Le principal taux directeur de la BCE, à 3,25 %, est attendu entre 2 % et 2,5 % l’an prochain, comme le rappelait récemment la Banque de France.